compost composteur

Quel composteur pour mon jardin ?

Installer un composteur dans son jardin, c’est une excellente idée. Cela permet non seulement de recycler les déchets de la cuisine, les restes de tontes, tailles et autres végétaux du jardin. Pour les transformer en compost qui viendra enrichir les futures plantations au potager ou ailleurs. Voici nos conseils pour réussir son compost au jardin ainsi qu’une sélection de composteurs de qualité pour faire le bon choix et éviter les désagréments. Si vous êtes en appartement, consultez notre article sur le compostage urbain.


Table des matières

Pourquoi composter ses déchets ?

  1. Parce qu’ils sont des matières premières précieuses qui vont participer à l’élaboration d’un fertilisant gratuit, tout aussi précieux pour enrichir la terre du jardin ou des jardinières.
  2. Parce qu’il participe au maintien de la biodiversité, essentielle à des plantes en bonne santé.
  3. Parce qu’en diminuant le volume des poubelles, le compost permet de réduire la pollution engendrée par leur collecte.

Quels sont les grands principes du compostage ?

Le compostage consiste à créer les conditions idéales de la décomposition des matières organiques. Il s’agit, en quelques sortes, de reproduire le processus naturel de la production d’humus dans les forêts. Ce n’est pas un hasard si un bon compost sent le sous-bois… Pour cela, il va falloir alimenter son composteur, de manière équilibrée, avec différents matériaux pour permettre à des micro-organismes de travailler dans de bonnes conditions et produire un compost de qualité. Nous verrons tout cela en détail dans la suite de l’article.

Où, quand et comment commencer votre compost ?

Où placer votre composteur dans votre jardin ?

Privilégiez un lieu plutôt ombragé dans votre jardin et à l’abri du vent. Cela évitera que votre compost ne se dessèche trop rapidement. Pour des raisons pratique, il ne faut pas le placer trop loin de la maison, pour qu’il soit aisé d’aller y vider sa poubelle de déchets de cuisine.

Quand commencer votre compost ?

Il est possible de débuter son compostage toute l’année. Mais, bien sûr, c’est mieux de le faire au début du printemps, en mars ou avril, car les micro-organismes se développent mieux qu’en hiver et le processus de compostage démarrera plus rapidement.

Comment démarrer le compostage ?

Une fois son emplacement déterminé, il est conseillé d’ameublir le sol afin que les organismes décomposeurs puissent y accéder plus facilement. Ensuite, il faut couvrir le sol d’un lit de petites branches sur une épaisseur de 5 à 10 cm pour créer un espace aéré, qui sera recouvert de feuilles mortes. Et voilà votre composteur est prêt à accueillir vos déchets compostables.

Quels déchets dans votre composteur de jardin ?

Les déchets idéaux pour le compostage

Les déchets de jardin : tontes de gazon, feuilles, tailles de haies, fleurs fanées, etc.

Les déchets de cuisine : épluchures, marc de café, filtres en papier, pain, laitages, croûtes de fromages, fanes de légumes, fruits et légumes abîmés, etc.

D’autres déchets de la maison : mouchoirs en papier, essuie-tout (sopalin), cendres de bois, sciures, copeaux, papier journal, cartons, etc.

Les déchets possibles pour le compostage

Les déchets très ligneux ou durs (branches, noyaux…) auront du mal à se décomposer, à moins d’être broyés avant leur incorporation.

La viande : elle peut être mise au compost, mais en petite quantité. Elle aura aussi tendance à attirer des animaux de tout type. Il faut donc qu’elle soit bien recouverte.

Les coquillages et les coquilles d’œufs : en quantité limité, ils peuvent apporter des minéraux utiles aux plantes.

Les déchets incompatibles avec le compostage

Les mauvaises herbes montées en graines : les graines ne seront pas décomposées par le compostage et germeront dès que le compost sera incorporé à la terre du jardin.

Les plantes malades : si certaines maladies peuvent être éliminées par le compostage, d’autres résistent et risque de se répandre une fois le compost répandu dans le potager ou le jardin.

Les déchets qui ne se compostent pas

Toutes les matières qui ne se décomposent pas ainsi que les matières « chimiques » : verre, métaux, plastiques, tissus synthétiques, couches culottes, bois vernis ou peints, produits chimiques, etc.

Comment avoir un compost équilibré en matières carbonées et azotées ?

Avant de voir en détail, les déchets que l’on peut incorporer au compost, un petit rappel « théorique » s’impose. Les matières d’origine végétale sont composées essentiellement de carbone et d’azote. Certaines sont plutôt riche en carbone comme les branches, la paille, les écorces, les feuilles mortes, les herbes sèches, le papier, le carton. Pour faire simple, tout ce qui est sec ou marron. D’autres sont riches en azote comme les déchets de cuisine, la tonte de gazon. Bref, tout ce qui est vert.

Pour évaluer la composition du compost, on fait appel au ratio C/N.

Qu’est-ce que le rapport carbone sur azote ou C/N ?

D’abord, un petit rappel, C est le symbole chimique du carbone et N, celui de l’azote. Le rapport carbone sur azote est un indicateur qui permet de constituer un compost équilibré. En théorie, ce rapport doit être compris entre 20 et 30 (idéalement 25). C’est-à-dire que le compost doit être constitué d’une quantité de carbone 25 fois plus importante que celle d’azote. Pourquoi ? Parce que les organismes qui œuvrent au sein de votre composteur consomment 25 fois plus de carbone que d’azote.

Si le rapport C/N du compost est très supérieur à 25, le processus de compostage se poursuit au ralenti, car les micro-organisme ont besoin d’azote pour se développer.

Si le rapport le C/N est largement inférieur à 25, les micro-organismes vont libérer l’azote en excès, qui va se transformer en ammoniac et se dissiper sous forme gazeuse (une odeur d’ammoniac émanant du compost est un mauvais signe !).

Attention : le fait que votre compost doit comporter 25 fois plus de carbone que d’azote ne signifie pas qu’il faut 25 kilos de feuilles mortes pour un kilo de tonte fraîche ! Car chaque composant contient du carbone et de l’azote et possède un rapport C/N propre. Voyons cela à travers un exemple.

Le rapport C/N de la tonte est de 10 et celui des feuilles mortes de 50. Pour calculer le rapport C/N du mélange, on utilise la formule : Rm = [(n1 x R1) + (n2 x R2)] / (n1 +n2)

Détail des éléments de la formule :

Rm = Rapport C/N du mélange

R1 = Rapport C/N du composant 1

R2 = Rapport C/N du composant 2

n1 = quantité de composant 1

n2 = quantité de composant 2

Si nous appliquons la formule à notre exemple, nous obtenons :

Rm= [(1 x 10) + (25 x 50)] / (1 +25) = 48,5

Ce qui est bien au-delà de la valeur recommandée pour votre compost qui doit se situer entre 20 et 30.

Si maintenant, nous prenons 10 kilos de tonte et 15 kilos de feuilles mortes, on obtient :

Rm= [(10 x 10) + (15 x 50)] / (10 +15) = 34

Ce qui est acceptable pour un bon rapport C/N de votre compost.

Donc, pour constituer votre compost, vous avez deux solutions :

A la louche : grosso modo, il faut compter deux volumes de matières carbonées (sèches) pour un volume de matières azotées (fraîches).

En calculant vos apports : pour cela, nous mettrons rapidement à votre disposition un calculateur du rapport C/N de votre compost et un tableau des ration C/N des déchets compostables.

Comment réussir votre compost au jardin ?

Si le compostage est un processus naturel relativement autonome, il est tout de même recommandé de suivre quelques règles simples, afin de créer les conditions idéales à la production d’un compost de qualité.

Broyer, réduire

Quelles que soient les matières compostées, au compost « small is beautiful » ! Les déchets de petites tailles se décomposeront plus rapidement. Il ne faut donc pas hésiter à réduire leur taille avant de les composter. Mais il est tout de même recommandé de laisser des matériaux plus grossiers (petites branches, etc.) qui vont permettre d’aérer le compost et créer des mini-poches d’air qui fourniront l’oxygène nécessaire aux micro-organismes utiles au compostage.

Varier les déchets

Un compost en bonne santé, est un compost équilibré. Pour atteindre cet équilibre, il est nécessaire de mélanger des matières « opposées ». C’est un peu le principe du yin et du yang !

  1. Mélanger des déchets carbonés et des déchets azotés Dans l’idéal, le compost doit intégrer 25 fois plus de matières carbonées (branches, paille, écorces, feuilles mortes, sciure, copeaux, herbes sèches, papiers, cartons, etc.) que de matières azotées (déchets de cuisine, tontes de gazon, tailles vertes, etc).
  2. Mélanger des déchets humides et des déchets secs.
  3. Mélanger des déchets grossiers et des déchets.

Mélanger, aérer

Les micro-organismes utiles au compostage ont besoin d’oxygène pour évoluer dans de bonnes conditions et se reproduire. Dans un compost mal aéré, ce sont d’autres micro-organismes qui vont occuper le terrain et se mettre à produire des gaz à l’odeur nauséabonde et du méthane. Une bonne aération est notamment procurée par des petites branches, qui vont empêcher le compost de se compacter, par le retournement régulier du compost, voire par le creusement de petits puits dans le compost pour y faire circuler l’air. Au début du compostage, il faut le mélanger assez fréquemment, puis une fois que le processus de compostage a démarré, tous les mois ou deux mois.

A vrai dire mélanger son compost à la fourche n’est pas une tâche toujours facile. Surtout si votre compost en dans un bac. Alors, pour alléger la corvée, il existe de petits outils très pratiques.

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Humidifier

Là, il n’y a pas de règle précise. Il faut que le compost soit humide, mais pas trop ! Un excès d’humidité empêche une aération correcte. Le compostage est ralenti et produit des odeurs désagréables. Il faut alors le faire sécher (en l’étalant) ou lui ajouter de la terre sèche ou du compost sec si vous en disposez. A l’opposé, un manque d’humidité va empêcher la survie des micro-organismes meurent et stopper le processus de compostage. Il est alors nécessaire d’arroser, sans excès, le compost.

Quels organismes sont présents dans le composteur du jardin ?

Plusieurs organismes sont requis pour produire un compost de qualité. Chacun a son rôle.

Les bactéries, travailleuses invisibles du compost

On ne les voit pas, mais les bactéries sont présentes par milliard dans le compost et sont indispensables pour décomposer la matière organique. Pour effectuer cette tâche, elles libèrent des enzymes qui vont dégrader les matières naturelles et lui permettre d’assimiler les éléments nutritifs. Cette dégradation génère de l’énergie qui est restituée notamment partie sous forme de chaleur. Et c’est cette chaleur qui va permettre d’enclencher et d’accélérer le processus de compostage.

En effet, dans le cycle de vie du compost, la température joue un rôle prépondérant. Le compost va progressivement se réchauffer pour atteindre 70°. Cela va permettre à trois types de bactéries de se succéder dans la décomposition des matières végétales.

D’abord, les bactéries psychrophiles, c’est-à-dire, capable de se développer dans des températures assez basses de 0 à 20°. Elles effectuent un premier travail de décomposition qui consiste à oxyder les matières carbonées. Cela engendre un échauffement de la température du compost qui va permettre aux bactéries dites mésophiles, c’est-à-dire qui se développent alors que la température est modérée, entre 20 et 40°, de prendre le relai. Une fois, que la température atteint les 40°, ce sont alors les bactéries dites thermophiles qui entrent en jeu et peuvent se développer jusqu’à ce que le compost atteigne environ 70°.

Une fois, l’action des bactéries terminées, le compost va progressivement se refroidir, laissant des conditions propices au développement d’autres organismes : les actinomycètes et les champignons.

Les actinomycètes et les champignons, combattent les résistances dans le compost

A mi-chemin entre les bactéries et les champignons, les actinomycètes sont visibles à l’œil nu sous forme de longs filaments blancs. Comme les champignons, ils sont capables de s’attaquer aux matières plus résistantes que les bactéries n’ont pas dégradées. Leur action contribue activement à la formation de l’humus et donne cette agréable odeur de sous-bois. Les actinomycètes produisent du carbone (C), du nitrate d’azote (NO3-) et de l’ammonium (NH4+) qui seront fort utiles pour nourrir les plantes.

Les macro-organismes, les finisseurs du compost

Les macro-organismes sont les organismes visibles à l’œil nu et sont très divers dans le composteur : nématodes, cloportes, fourmis, escargots, limaces, acariens, ver blanc, ver de terre… Tous œuvrent à la maturation du compost. Soit en décomposant les matières encore non traitées par les bactéries et champignons, soit comme les vers en se déplaçant dans le compost, ce qui contribue à l’aérer, tout en broyant des matériaux et en laissant leurs déjections riches en éléments nutritifs pour les plantes.

Un activateur de compost est-il utile ?

Un compost bien mené n’a, en théorie, pas besoin d’activateur. Le processus se fait naturellement. Vouloir accélerer son compost n’est pas forcément une bonne idée, car il faut du temps à tous les organismes du compost pour faire leur job. Si toutefois, votre compost tourne au ralenti et que vous souhaitez lui donner un petit coup de boost, sachez qu’il existe des activateurs totalement naturel : la consoude, l’ortie ou les peaux de bananes. Vous pouvez, pour chacun d’eux, les utiliser en purin, en les faisant macérer quelques semaines dans un réservoir d’eau.

Comment savoir si votre compost est prêt ?

Un compost bien entretenu (apports équilibrés, bonne humidité, aération régulière, etc.) sera mûr au bout de 3 à 6 mois, durant le printemps et l’été. En hiver, il arrive à maturité plutôt au bout de 6 à 9 mois. Du début à la fin, il perd environ 2/3 de son volume. Pour reconnaitre, un compost mûr, c’est un peu comme Jacques Vabre avec le café, il faut le regarder, le prendre en main, le sentir… Il s’effrite facilement, sent bon la terre de forêt, l’humus, et est d’une couleur foncée, tirant sur le noir.

Comment utiliser votre compost au jardin ?

Une fois arrivé à maturité, le compost peut être étalé au pied des plantes, au potager ou dans les jardinières, et directement dans les trous de plantation. Il ne doit pas être enterré mais incorporer en surface. En moyenne, vous pouvez épandre 3 à 7kg de compost pour une surface de 10m², et cela deux à trois fois par an.

Quelle taille pour votre composteur de jardin ?

La taille de votre composteur dépend deux critères principaux : votre volume de déchet ménager, et donc de la taille de votre famille, et votre volume de déchets végétaux, et donc de la taille de votre jardin. Il faut cependant garder à l’esprit que pour réussir votre compost, il va falloir l’alimenter de manière équilibrée. Une personne seule avec un immense jardin ne pourra pas mettre tous ses déchets végétaux dans le composteur, au risque de déséquilibrer le processus de compostage.

Ceci dit, même s’il n’y a pas de règle précise, il est convenu qu’il faut opter pour :

Un composteur de 300 litres pour une personne seule

Un composteur de 500 litres pour un couple

Un composteur de 800 litres pour trois personnes

Un composteur de 1000 litres pour quatre personnes.

Et pour les familles très nombreuses, rien n’empêche d’avoir plusieurs composteurs !

Comment choisir son composteur de jardin ?

Le tas au fond du jardin

Il est tout à fait possible de faire un compost en tas, éventuellement entre des palettes à la verticale. Vous êtes libre de déterminer la surface au sol et la hauteur (pas plus de 1,5 mètres). Cela comporte des avantages : le brassage est plus facile, il bénéficie d’une bonne aération et est humidifié par les pluies. Mais, il y a aussi quelques inconvénients : impact important des conditions climatiques (prévoir une bâche lors de pluies importantes), accès facile pour les animaux (chats, chiens, rats, etc.) attirés par certains déchets (incorporer les déchets attirants au cœur du tas de compost), durée de compostage plus élevée (comptez 3 mois supplémentaires par rapport à un composteur).

Le bac ou silo à compost

Les composteurs de type bac ou silo existent en différents volumes, de 250 à 100 litres. Ils sont également proposés dans différents matériaux : bois, plastique, acier. Nous avons sélectionné ci-après quelques modèles parmi les centaines qui existent sur le marché. Nous avons privilégié les bacs à compost en bois (avec préservation des ressources) ou en plastique 100% recyclé.

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Un composteur très fonctionnel et de bonne qualité de fabrication.
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Comment résoudre les problèmes liés au compostage ?

Mon compost ne chauffe pas

En général, un compost qui ne monte pas en température souffre d’un des problèmes suivants :

  1. La quantité de produits verts (azotés) est insuffisante. Il faut donc en ajouter
  2. L’humidité du compost est trop faible ou trop élevée
  3. Le compost est arrivé à maturité

Mon compost sent l’ammoniaque

Si votre compost dégage une odeur d’ammoniaque, c’est qu’il est trop riche en azote. Il fa falloir ajouter des matières brunes (carbonées) et mélanger le tout.

Mon compost sent l’œuf pourri

Votre compost est sans doute trop humide. Il faut l’aérer et lui incorporer des déchets carbonés

Mon compost développe des moisissures blanches

Votre compost est sans doute trop sec. Un petit arrosage ou l’apport de déchets humides pourront y remédier.

Mon compost attire des rongeurs, rats, etc.

Ce sont souvent les déchets de cuisine qui sont très appétissant pour les petits animaux. Il est donc préférable d’avoir un composteur bien fermé (mais aéré) ou à défaut de bien couvrir les déchets alimentaires. Souvent, cela peut également être le signe que votre compost n’est pas assez humide.

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